« La présence de salariés motivés ne garantit pas systématiquement la performance.

En revanche, l’absence de motivation garantit à coup sûr une faible performance à long terme. »

Research Management

Et vous, qu’en pensez-vous ?
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Lors d’une réunion de club d’entreprise ou d’association professionnelle, on n’a parfois que quelques minutes, voire quelques secondes pour se présenter et laisser une bonne impression.

Bien présenter son idée, son produit ou son entreprise en quelques secondes peut se révéler salutaire dans bien des cas, surtout lorsqu’on veut trouver de nouveaux clients ou lever des capitaux. Comment faire ?

Voici ce que doit contenir votre « Elevator Pitch », comme disent les américains :

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« Il faut tenir à une résolution parce qu’elle est bonne, et non parce qu’on l’a prise. »
François de La Rochefoucauld

« (Bonne) résolution : décision que l’on prend après réflexion. Projet que l’on arrête.
Par extension, fermeté, courage. »

Le début d’année est propice aux bonnes résolutions.

Mais attention, seulement 12% des gens tiennent leurs bonnes résolutions, selon l’étude menée par le professeur Richard Wiseman de l’université de d’Hertfordshire auprès de 3000 volontaires.

Les 12% de courageux qui parviennent à tenir les engagements qu’ils ont pris envers eux-mêmes ne sont pas pour autant surhumains. La psychologue Sophie Achard, spécialiste de la psychologie de la motivation l’explique : «pour tenir ses bonnes résolutions, le mieux est de n’en prendre qu’une».

«Il ne faut pas hésiter à mettre en place un système de récompense et à se féliciter pour chaque micro progrès accompli», poursuit la psychologue. Plutôt que de se focaliser sur le chemin à parcourir, félicitez-vous de ce que vous avez déjà accompli.

Une méthode en 5 étapes

Pour commencer l’année sous le signe du renouveau, voici 5 étapes que je vous propose pour vous permettre de tenir vos résolutions :

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Adieu 2009 !   31 décembre 2009

Pour moi, 2009 restera l’année où j’ai lancé le site manager-positif.com, et ce blog.

Mon but, à travers ces instruments de communication est de proposer aux dirigeants, entrepreneurs, managers, animateurs d’équipes… des outils de management positif, c’est-à-dire des ressources pour mieux manager, entraîner, animer, motiver leurs équipes et leurs collaborateurs.

Le premier de ces outils, totalement gratuit, est le présent blog, sur lequel je publie régulièrement des réflexions, des comptes-rendus de lectures, des contes philosophiques ou des citations positives.
Et sur lequel chacun peut réagir en postant ses propres commentaires.

Vous disposez également du site manager-positif.com, et en particulier l’onglet « Outils de management » dans lequel vous trouvez des ouvrages numériques consacrés au pilotage de l’entreprise et au management.

Je suis convaincu de l’intérêt du livre numérique, pour plusieurs raisons :
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Stock.chng_optical_page__2Quel est le point commun entre l’usine automobile, la crèche israélienne, l’hôpital new-yorkais, la charcuterie italienne, la privatisation des prisons ou la gouvernance de la recherche ?
Tous sont pilotés par des indicateurs et des incitations qui ont tourné en fiascos, analysés dans ce réjouissant livre de Maya Beauvallet : « Les stratégies absurdes, comment faire pire en croyant faire mieux » (Seuil)

On apprend ainsi que la privatisation des prisons américaines est encadrée par une liste de 464 standards, tous dûment notés par une agence. Ce qui n’empêche pas d’y trouver dix fois plus de blessés…

Dans notre monde moderne, il s’agit de plus en plus « d’encourager les individus à adopter tel ou tel comportement en jouant sur leur intérêt bien compris. Le mécanisme le plus élémentaire repose sur la récompense ou la pénalité : si vous faites ceci, vous gagnerez cela ; si vous ne faites pas ceci, vous n’aurez pas cela. »

Cette pratique repose sur le postulat d’un individu rationnel cherchant à optimiser son intérêt… Mais hélas, bien souvent, elle ne fonctionne pas.
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À l’occasion d’une intervention en entreprise, j’ai trouvé ce texte affiché sur une porte.
Je l’ai trouvé amusant et très juste.
En effet, en matière de management, la capacité d’auto-management d’une équipe est une dimension à cultiver…
Qu’en pensez-vous ?

Il était une fois 4 personnes qui s’appelaient «Tout le monde», «Quelqu’un», «Chacun» et «Personne».

Il y avait un important travail à faire et on demanda à «Tout le monde» de le faire.

Mais comme «Tout le monde» pensait que «Quelqu’un» le ferait , c’est «Personne» qui le fit.

«Quelqu’un» se fâcha parce que c’était le travail de «Tout le monde et qu’il n’était pas fait.

En fin de compte, «Tout le monde» fut mécontent et «Chacun» renvoya la faute sur «Quelqu’un» parce que «Personne» n’avait fait ce que «Chacun» aurait pu faire.

Moralité : il faut dire «Moi, je le fais»

Est-ce que cet article vous parle ?
Qu’allez-vous en faire ?
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